Une soumise en cadeau

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il y a 9 ans

Ami lecteur, aussi incroyable que ce soit, cette histoire est basée sur des faits réels, la rencontre de Paule et Bruno s'est ainsi déroulée, la suite a pris un peu plus de temps. J'ai condensé, romancé, mais la plupart des scènes décrites sont réelles, Paule ayant des dispositions à la soumission et au masochisme exceptionnelles, tu en penseras ce que tu veux... je suis, dans la vie réelle... un des protagonistes de cette histoire.

Je suis à la cantine avec ma collègue Paule, nous nous sommes mises à l'écart pour discuter tranquillement. Paule est mon amie... divorcée depuis quatre ans, la quarantaine, brune, cheveux mi-longs, un mètre soixante, une belle poitrine, pas trop mince, sans être ronde, des formes, nous discutons du prochain week-end...

Paule est une collègue, gentille, agréable, son seul défaut irritant, une timidité maladive et une sorte de langueur, de passivité, de soumission à tout. J'ai décidé d'en faire le cadeau d'anniversaire de Bruno, mon beau-frère, 40 ans, ça se fête... mon mari m'a souvent offerte à son frère, depuis que celui-ci est divorcé. Nous en avons discuté avec Patrick, mon mari, il a trouvé mon idée excellente, géniale, peut-être que Paule ferait une soumise idéale.

« Vois-tu Paule... j'ai toujours été soumise à mon mari, depuis que je l'ai rencontré, dès le début de notre relation, il m'a attachée et cravachée, m'a utilisée par tous les orifices, m'a offerte à d'autres hommes, depuis que les e n f a n t s sont en fac, j'ai l'impression de revivre une deuxième jeunesse, à cinquante ans, même si ses pratiques sont devenues plus hard, je suis également plus résistante, et ne m'en plains pas, alors qu'est-ce que tu attends, nous en avons déjà parlé, je suis d'accord... »

« Mais enfin, Isabelle, tu me proposes de venir passer le week-end chez toi et de me faire éduquer et sauter par ton mari, tu n'es pas jalouse? Et si ça ne me plaît pas, remarque cela va faire cinq ans que je n'ai pas fait l'amour... , quoique je n'ai jamais vraiment aimé ça... Bon OK, je prendrai mes affaires et partirai avec toi vendredi soir, pour les trois jours du week-end ».

« Tu sais ton mari va être déçu, Pierre m'a quittée parce que d'après lui, je ne valais rien au lit, trop passive, c'est le seul homme que j'ai connu... »

Dans la voiture, Paule m'explique qu'elle s'est achetée de la lingerie « coquine » pour être à son avantage, mais qu'elle est un peu inquiète, est ce que Patrick va apprécier. Je lui faits remarquer qu'en cette fin de printemps, il fait beau et chaud, et qu'il y a de fortes chances que nous passions le week-end nues... je lui demande de relever sa jupe et d'enlever sa culotte, elle s'exécute sans protester, avec cette sorte de langueur qui ne la quitte jamais...

Je lui caresse le sexe, je constate avec plaisir qu'elle m'a obéie, s'est rasée, son sexe est humide, je le fouille, Paule ne paraît pas plus émue que ça, toujours cette passivité... cela m'inquiète un peu...

Nous arrivons à la maison, je fais entrer Paule dans une chambre, la déshabille, elle a vraiment une poitrine extraordinaire, quoique une peu molle, je déballe ses affaires, l'aide à passer le serre-taille qu'elle a acheté sur mes indications une taille en dessous, l'effet est stupéfiant, ses hanches rebondies et sa poitrine sont mises en valeur, je lui attache un collier BDSM autour du cou, y suspend une laisse, lui passe des attaches en cuir aux poignets et chevilles, elle se laisse faire, inexpressive, je doute de plus en plus de mon choix...

Je l'envoie se maquiller dans la salle de bains et vais me préparer.

Isabelle revient nue, je vois qu'elle a des anneaux aux seins et au sexe, elle porte un collier, une laisse, des attaches en cuir aux poignets et chevilles, une chaîne autour de la taille. J'entraîne Paule dans notre chambre, la couche sur le lit et la caresse, j'ai envie de jouer avec ses seins, elle a une poitrine magnifique, je les pince, tire sur les tétons, caresse, embrasse, elle ne réagit quasiment pas, je doute de plus en plus de mon « cadeau »...

J'entends un bruit de voiture, Patrick arrive avec Bruno, « le vin est tiré, il faut le boire... je me demande comment va réagir Bruno devant une telle passivité... » Les hommes sont dans la salle à manger, comme convenu Patrick installe son petit frère, lui offre un apéritif, à moi de rentrer en scène... Je prend Paule par la main, lui demande « alors prête, pour le saut dans l'inconnu... », elle me répond « oui... », elle est généralement laconique, mais là, elle me scotche, émotive comme une bûche...

Nous entrons toutes les deux, dans la salle à manger, Patrick sourit, Bruno nous regarde totalement éberlué, avec Patrick nous nous exclamons ensemble « Bon anniversaire Bruno... » Je pousse Paule en avant et déclare « ton cadeau, mon très cher petit beauf d'amour... »

(Mince alors, je suis un cadeau, offerte comme une montre ou un bouquet de fleurs...), cette réflexion me traverse instantanément l'esprit.

Je regarde Bruno, la ressemblance avec son frère est étonnante, il se lève, embrasse son frère, sa belle-sœur, vient vers moi m'embrasse, passe derrière moi... Je sens les mains de cet homme que je n'ai jamais vu, que je ne connais pas, courir sur moi, s'attarder sur ma poitrine, fouiller mon sexe, doigter mon cul, bizarrement je suis plus excitée qu'avec mon ex-mari, je sens que mon sexe commence à s'humidifier.

« Emmène là dans le « donjon », elle est novice en matière de soumission, amuse toi bien avec Paule... » déclare Patrick à son frère.

Bruno me prend par la main et m'entraîne, il ouvre une porte, la pièce n'est pas meublée, une croix est fixée sur un mur, au milieu trône un chevalet dont l'une des extrémités est une planche percée de trois trous. Bruno m'embrasse, me pelote, me parle, il me dit que je vais devenir une soumise, un vrai vide-couilles, qu'il va m'attacher, que je vais subir ses pénétrations, qu'il va me cravacher... J'ai un mouvement de recul... Il dégrafe mon serre-taille, me l'enlève, je suis totalement nue, il me reprend dans ses bras, ses mains courent sur mes flancs, mes hanches, je me laisse faire...

Il me f o r c e à m'allonger sur le chevalet, fixe les bracelets des chevilles aux pieds du chevalet, déverrouille une attache, soulève une planche, me demande de positionner mes poignets et mon cou, referme et reverrouille la planche. Il prend une chaîne et m'entoure la taille en la fixant sur la poutre du chevalet.

« Essaie de bouger... »

J'ai beau essayer de me contorsionner, je suis immobilisée...

« Ouvre la bouche... salope... », Bruno qui s'est déshabillé enfonce son sexe bandé dans ma bouche, il l'enfonce, je suis à moitié étouffée, j'entends un sifflement, un coup sur mes fesses, il me cravache le cul...

Bruno continue ses va-et-vient dans ma bouche, je m'eff o r c e de le sucer du mieux que je peux (en fait je n'aime pas faire ça...), je me sens de plus en plus excitée, mon ventre tremble, je sens mon sexe mouiller, je me rend compte que j'apprécie ce qu'il est en train de me faire, même les coups ne me gênent pas outre mesure, ils m'excitent au contraire... Bruno éjacule dans ma bouche, « avale tout... soumise... », à moitié étouffée j'avale le sperme, je demande à Bruno « prend moi dans mon ventre, j'en ai envie, fais de moi une chienne... »

« Enfin j'entends le son de ta voix, tu as appréciée, je vais t'apprendre à devenir une chienne... une grosse chienne soumise... », il se penche vers moi m'embrasse à pleine bouche, je lui rend son baiser, mon ventre tremble de plus en plus...

Bruno farfouille dans une commode, immobilisée, je ne peux voir ce qu'il fait. Une douleur sur un sein, il vient de fixer une pince, il la lâche, une autre douleur la pince est lestée d'un poids, j'ai l'impression que l'on m'arrache le sein, l'autre sein est traité de la même manière. Un sifflement, un coup de cravache sur un sein, puis sur l'autre, Bruno est à genoux, il me cravache les seins durement, je gémis, je crie, il se semble pas s'en émouvoir et continue.

Un coup de cravache sur mes fesses, je sens la main de Bruno pénétrer mon sexe, je suis trempée, il prend la mouille, me lubrifie mon anus, caresse mon sexe, pénètre à nouveau mon anus avec un doigt..., je le sens déposer un produit sur mon anus. Sans précaution, il pousse son sexe érigé dans mon petit trou, je gémis, il m'ordonne de me taire. Il commence ses aller et retour dans mon petit trou, commente ses sensations en me disant que je suis trop étroite et qu'il m'agrandira, m'assouplira ma rondelle, cravache à nouveau mon dos, puis accélère son rythme et fini par se vider dans mon ventre, je gémis « j'éprouve, j'éprouve, j'éprouve, encore... », je commence à avoir ses spasmes dans le ventre, jamais je n'ai ressenti ça...

Bruno râle, il s'est sali le sexe dans mon intestin, il me reproche l'état de mon conduit et me dit que la prochaine fois, il me le fera sucer, quelle que soit la matière qui sera dessus avec son sperme. Il revient quelques instants après, il me tend un verre d'eau, je bois un peu d'eau, le remercie, il me caresse le visage et me demande « alors... tu as l'air d'aimer ça... tu « éprouves » quand tu jouis?, répond... une soumise doit toujours répondre à son maître et lui dire la vérité... »

« Oui, quand je jouis « j'éprouve... », j'aime ça, j'aime cette sensation d'impuissance, de subir, d'être dominée, j'aime être attachée, j'aime les poids qui tirent sur mes seins, j'aime les coups de cravache, mais je dois te prévenir, mon mari m'a quittée parce que je suis trop passive... j'ai peur de te décevoir... »

Bruno rigole et me dit « au contraire, j'adore ton comportement, je pense que tu vas devenir une soumise formidable, ta passivité est de la soumission, tu es née pour être dominée, mais tu ne le sais pas, puisque tu n'a jamais essayé, je te garantis que dans quelques temps tu hurleras ton plaisir, le temps que le déclic se fasse dans ton corps et surtout dans ta tête... en attendant, suce-moi... refait moi bander... »

J'ouvre docilement ma bouche et suce son sexe, l'aspire, je le sens grossir, se raidir, je m'eff o r c e de serrer mes lèvres sans le blesser avec mes dents, il le remarque et me remercie. Bruno se retire de ma bouche, je l'entend prendre des objets, il accroche de nouveaux poids à mes seins, la sensation d'arrachement me provoque un nouveau spasme dans le ventre, je réfléchis, et s'il avait raison, si j'étais faite pour être une soumise, si pour jouir (ce que je n'avais fait que très rarement...), j'avais besoin d'être f o r c é e, maltraitée?

« tu es trempée ma salope, tu mouilles comme une fontaine, c'est le Niagara la-dedans, cochonne de soumise... », en passant ses doigts dans mon sexe Bruno vient de découvrir et de me faire découvrir que je mouillais...

Son sexe pénètre mon vagin, « je vais prendre mon plaisir sans m'occuper du tien, si tu jouis tant mieux... », il module sa pénétration en fonction de son plaisir, mon ventre me brûle de plus en plus, il a accroché mes hanches, à chaque pénétration je sens ses couilles sur mes fesses, je commence à gémir, il ne s'occupe pas de moi, continue son va-et-vient, soudain je crie « j'éprouve, j'éprouve, j'éprouve... », il se vide dans mon ventre, je crie « encore... » (c'est la première fois que je crie comme cela, j'ai jouis... j'ai le ventre en feu, je sens mon ventre avoir des spasmes).

Bruno ne s'occupe pas de moi, revient face à moi, me met son sexe flasque et gluant à portée de la bouche et m'ordonne « nettoie... », avec ma langue je lèche le mélange de sperme et de ma mouille, il décalotte son gland, je le nettoie... Il boit à la bouteille, me tend à nouveau un verre d'eau, j'avale quelques gorgées, je suis vidée, je n'ai plus de f o r c e , je me sens toute molle.

Il me libère du carcan, m'aide à me redresser, me libère les chevilles et me prend dans ses bras, m'embrasse, je lui rends ses baisers avec une fougue et un plaisir que je n'ai jamais éprouvé, j'ai mal aux seins, les poids tirent toujours dessus, je ne dis rien, je subis...

Bruno m'amène devant la croix, me positionne dos à la croix, docilement je me laisse faire, attache mes chevilles, mes poignets,je suis écartelée... Il me met un masque de nuit sur les yeux, je ne vois rien, il prend un de mes seins avec les deux mains, le serre, le triture et me dis « je suis sûr que tu vas aimer... ».

Une odeur de bougie, de cierge?, je sens une goutte brûlante s'écraser sur un sein, la sensation de brûlure, me provoque un spasme dans le ventre (et s'il disait vrai?), il continue son manège, peu à peu mes seins se couvrent de cire.

Une main me croche au sexe, des doigts pénètrent mon vagin, jouent avec mes lèvres, branlent mon clitoris, un sifflement, un coup de cravache m'arrive sur un sein, puis sur l'autre, la main continue son va-et-vient dans mon sexe, les coups de cravache continuent à pleuvoir sur mes seins (je sens la cire se détacher), soudain je commence à gémir « j'éprouve, j'éprouve, j'éprouve, plus fort, plus fort, j'éprouve... », Bruno continue à cravacher les seins, sa main s'active dans mon sexe, un long spasme me secoue, j'ai joui à nouveau...

Les mains de Bruno courent sur mon corps, délicatement il enlève les pinces et les poids de mes seins, les caresses, suce les pointes, m'embrasse, puis me détache. Il me prend dans ses bras, je sens les poils de sa poitrine contre mon dos, il me serre contre lui, je suis bien, il saisit la laisse et me tire, me guide, comme on guide un chien, plutôt une chienne, nous entrons dans la salle à manger.

« Alors ton cadeau? » demandent en chœur Patrick et Isabelle.

« Formidable, génial, je suis fou d'elle, elle est fabuleuse de docilité et de soumission, c'est une soumise-née, mais elle ne le sait pas... »

Il m'entraîne dans le jardin, prend un tuyau d'arrosage, ouvre le jet, et me nettoie le cul et le sexe, l'eau est glacée, je frissonne, mais me tais... « tu vois une femme normale aurait pu prendre une douche, une soumise comme toi... non, le maître décide, j'ai décidé de te nettoyer comme on nettoie un anima...l, au jet d'eau froide... sois en fière... »...

Il me ramène toujours en laisse, dégoulinante dans la salle à manger, Isabelle va chercher une serviette et m'essuie. Bruno me détache mon collier, le pose sur le guéridon, s'assied dans un fauteuil et réclame un apéritif à son frère. Il boit une gorgée, je suis debout devant lui, ne sachant que faire, il me regarde et me dit « si tu veux devenir ma soumise pour la vie, une esclave sexuelle, ma propriété, ma chose... prend le collier et la laisse, sur la table, attache-toi le collier autour du cou et vient t'agenouiller devant moi... attention, il n'y aura pas de retour en arrière, tu m'appartiendras totalement..., je serai ton maître... »

Une impulsion, je ne réfléchis pas, je prend le collier et la laisse, tombe à genoux, m'attache le collier autour du cou... (jamais je n'ai éprouvé de telles sensations, cet homme fera de moi ce qu'il veut, je ferai tout, je veux à nouveau vibrer comme il m'a fait vibrer, je ferai tout ce qu'il veut, je le lui dit...). Bruno attr a p e la laisse, me fait lever et m'invite à m'asseoir sur ses genoux, Isabelle et Patrick applaudissent, Isabelle, suivie de son mari viennent m'embrasser et me féliciter, je suis heureuse.

Un bras passé autour du cou de Bruno, je bois l'apéritif qui m'a été servi. Bruno me caresse le bas du dos et les flancs, je l'embrasse sur les tempes, dans le cou, glisse ma langue dans une oreille. Bruno s'adresse à Isabelle « Isa, s'il te plaît, va chercher du lubrifiant pour son anus, une cravache et une S a n g le, Patrick, je voudrais que tu la prennes sur le guéridon, dans tous ses orifices, je veux la voir se faire prendre, (s'adressant à moi) ta carrière de soumise commence maintenant... », je remercie mon maître...

Je suis agenouillée sur le guéridon, Bruno me demande de poser mon torse sur le guéridon et de ramener mes cuisses contre mon ventre, je me positionne maladroitement, il me guide, jusqu'à ce que je prenne la position qu'il veut obtenir, la S a n g le est passée derrière mes cuisses et sur mon dos, j'entends le bruit du cliquet, la s a n g le est tendue, je suis immobilisée. Un flash dans ma tête, je me rend compte que j'aime être ainsi exposée, offerte, prête à être utilisée, une chaleur soudaine envahie mon ventre.

Je sens un doigt me lubrifier l'anus, un sexe le f o r c e r, je gémis un peu, Patrick m'attr a p e les bras, et tirant dessus règle sa pénétration, Bruno s'est positionné devant moi, il tient la cravache, chaque fois que Patrick me redresse pour s'enfoncer un peu plus en moi, il me cravache les seins, s'appliquant à ne pas trop appuyer les coups...

« Viens voir Isa ta copine, soi-disant frigide, je n'ai jamais vu ça, viens voir Bruno.. »

Patrick se dégage de mon anus, j'entends les commentaires « impensable, regarde ça la mouille pend, en stalactites, jamais vu un truc pareil, j'en prend plein les couilles à chaque fois, frérot je vais lui défoncer le cul..., toi... (dit-il en s'adressant à moi) tu la ferme..., je ne veux t'entendre que quand tu jouiras, salope... soumise... vide-couilles... »

Isa me demande « tu ne m'as jamais dit, que tu mouillais comme ça, une vraie fontaine, vilaine cachottière... »

« C'est la première fois que ça m'arrive, j'ai éprouvé à chaque fois que Bruno m'a prise ou m'a branlée, je ne sais pas ce qui se passe, je ne comprends pas... »

« Tu as raison Nono, t'es un veinard toi, c'est une soumise-née qui s'ignorait, on a réussi notre cadeau au-delà de toute espérance, à voir ta tête, t'en es raide dingue, hein mon Nono?... » déclare Patrick en riant.

« Oui, plus je la regarde, plus elle m'excite, plus je l'aime, car je sais que je l'aime, pourtant je serai très dur avec elle... »

Cette révélation me bouleverse, je pleure, je s a n g lote, Isa vient me réconforter « alors Cocote, ma Paule, qu'est-ce qui t'arrive?... »

Entre deux s a n g lots, j'explique que je me pensais moche, conne, inutile, frigide, un vrai boulet et je me découvre aimée, je demande à Isa de me moucher, mon nez coule..., je renifle... « Bruno, si j'ai passé le collier, c'est parce que je veux toujours être à tes côtés, moi aussi je t'aime, je veux être ta soumise, être traitée comme une chienne, si tu veux, je me prostituerai pour toi, fais de moi ce que tu veux, mais continue à me faire ce que tu m'as fait dans le donjon, j'accepte tout, tout... mon amour... »

Patrick me tire les bras en arrière, je suis redressée, Bruno s'agenouille et m'embrasse longuement, je lui rend son baiser, puis il me glisse à l'oreille « supporte tout sans gémir mon amour, rend moi fier de toi... » Patrick réinvestit mon anus et me tire fortement les bras en arrière, mon cul s'écrase sur ses couilles, il pilonne mon anus sans pitié, je sens mon ventre trembler je commence à psalmodier « j'éprouve, j'éprouve, j'éprouve, encore, plus profond... j'éprouve.. », les coups de cravaches continuent à s'abattre sur ma poitrine, je crie « Ouiiiiii... » quand Patrick se vide dans mon ventre.

« T'as pas crié comme ça, avec moi » me dit Bruno « je ne suis pas vexé ou jaloux, ma puce, tu es en train d'apprendre... c'est très bien... »

Patrick se présente devant moi, Bruno m'attr a p e les bras, me tire en arrière pour me redresser « lèche ma queue... soumise... », je m'exécute et nettoie le sexe de Patrick avec ma bouche.

« Les hommes, venez voir sa chatte, c'est incroyable, ça coule de partout... »

« Lèche-la puisque tu adores ça, grosse cochonne... », suivant l'ordre de Patrick je sens la langue d'Isabelle me nettoyer le sexe, j'ai de nouveau un spasme dans le ventre « nom de dieu, elle est de nouveau en train de jouir... » déclare Isa qui reprend aussitôt sa caresse.

Je sens un doigt me passer quelque chose sur l'anus, « fiste-la... » ordonne Bruno.

Deux doigts menus, pénètrent mon anus, puis trois, il se dilate, la douleur est supportable, je sens le petit doigt f o r c e r pour pénétrer, un mouvement de droite à gauche anime la main, mon anus me fais souffrir, je me tais, puis je sens le pouce pénétrer, c'est horrible, mon sphincter va éclater, puis la main pénètre en entier, Isa recommence à me lécher le sexe, sa main continue ses mouvements de rotation dans mon anus, je sens son poignet frotter contre mon sphincter, mon ventre est rempli, mon ventre tremble, je ne tarde pas à crier, à nouveau « Ouiiiiiiiiii...... »

« Inouï... » s'exclament en chœur Bruno et Patrick, « t'es vraiment une grosse cochonne » me dit Isa « supporter ça... à sa première séance... chapeau... bravo l'artiste... chapeau ma grande... t'es vraiment douée pour ça..., tu es faite pour subir, tu es vraiment une soumise-née..., j'ai eu la main heureuse et une sacrée intuition, tout à l'heure je t'initierai à l'amour au féminin, tu apprendras à lécher une femme... »

Patrick me reprend par les bras, investi mon sexe, Bruno se positionne devant moi, il bande à nouveau, j'ouvre ma bouche et le suce au rythme que m'impose Patrick, j'ai de nouveau le ventre en feu, Patrick prend son temps, Bruno de fait en fait autant, je sens mon ventre fondre, des spasmes de plus en plus v i o l ents l'agitent.

Patrick accélère ses mouvements, Bruno me regarde, je ne tarde pas à hurler des mots sans suite, puis lorsque je sens Patrick éjaculer dans mon sexe je hurle à nouveau « Ouiiiii... » Patrick me lâche les bras, je tombe sur le guéridon, je sens une main débloquer la S a n g le, Bruno m'aide à me relever, me soutient, Isa pose la serviette sur un fauteuil, Bruno m'assoit, je suis tétanisée, incapable de bouger, je réalise que je suis une soumise, faite pour être dominée et qui ne jouit que dans ces conditions, je suis anéantie et heureuse...

Je reste une vingtaine de minutes dans le cirage, Isa, Patrick et Bruno, se resservent un apéritif, je les entend commenter ma prestation en termes élogieux, je sais que désormais, je serai leur « jouet » , bizarrement j'en suis heureuse.... Nous sommes à table, nous avons fini de souper, Bruno me demande de reculer ma chaise, de me branler jusqu'à ce que je jouisse, durant le repas, j'ai du leur raconter ma vie sexuelle, je me suis exécutée honnêtement, leur racontant la vérité, le néant de ma vie sexuelle jusqu'à aujourd'hui, le ratage complet de mon mariage du fait de ma passivité, maintenant je me caresse sans aucune honte, jambes écartées, le sexe béant, commentant mes sensations.

Je me caresse depuis plusieurs minutes, rien ne se passe, Bruno se lève, prend la cravache et me cravache les seins, mon ventre à un spasme, sur son ordre je n'ai pas ralentie ma caresse, mais l'ai accéléré...

« Regarde la mouille Patrick... » s'exclame Isa « incroyable... », les coups continuent à pleuvoir sur mes seins, je commence à murmurer des mots sans queue ni tête, Bruno abandonne la cravache, se penche vers moi, et me mord un sein, puis l'autre, mon ventre à un nouveau spasme, les morsures continuent, mon ventre tremble, je hurle « j'éprouve... j'éprouve... Oui.... », j'ai jouis encore une fois.

« Totalement maso... » déclare Bruno, « impensable, elle ne jouit que sous la contrainte et la douleur, je t'aime ma biche, ma soumise, je te rendrais heureuse, tu seras marquée continuellement, mais une femme comblée... », il m'embrasse à pleine bouche, je lui rend ses baisers, je suis heureuse, je jouis enfin, la douleur de mes seins mordus, marqués par ses dents, m'indiffère, il me fait jouir, j'aime ça, je l'aime, qu'il me fasse ce qu'il veut...

Nous sommes de nouveau à table, Isa revient avec une cafetière, nous buvons notre café, Bruno me caresse, je sens mon ventre réagir, je lui avoue, il me félicite de ma franchise, je lui répond « je n'ai pas le droit de te mentir, mon amour, mon maître... ». Je suis toujours gluante du sperme dans mon cul et mon sexe, je demande à Bruno la permission d'aller me nettoyer dans la salle de bains... « Isa, dans le jardin et au jet... »

Je subis à nouveau, grelotte, Isa m'essuie et me ramène dans la salle à manger par la laisse, je me laisse faire passive, heureuse, les autres décident pour moi... je suis vraiment née pour être serve, cette évidence me ravie, enfin mon existence à un sens...

Nous sommes allongés sur le lit avec Isa, tête-bêche, nous nous léchons, les hommes assis sur des chaises nous regardent en buvant un digestif, commentent nos ébats, je me plie aux directives d'Isa, sur son ordre, enduit son anus de lubrifiant, elle en fait autant avec le mien, j'ai compris ce qu'elle désire, je réitère les gestes qu'elle a utilisée sur moi et les imite, nous nous « fistons » mutuellement, elle continue néanmoins à me gamacher le sexe, j'en fait autant.

Isa mouille, soudain elle demande « Bruno, cravache... j'ai la main dans son cul, je ne vais pas tarder à partir, elle n'a pas plus de réaction qu'une moule sur son rocher... punis la, sois sévère... »,

Les coups arrivent sur mon cul, une main me saisit un sein (Patrick) tord la pointe, le malaxe, j'ai un spasme dans mon ventre, des ongles griffent mon dos (Patrick), la houle envahie mon ventre, Isa sent ma réaction, accélère les mouvements de sa langue, je règle mon tempo sur elle, les coups continuent à pleuvoir sur mes fesses soudain je crie « Ouiiiii... », Isa hurle à l'unisson avec moi, nous avons jouis ensemble.

« Eh ben, camarade, mon frérot ,tu t'es mis un sacré fardeau sur les bras, Isa est soumise, mais Paule, ça dépasse tout, je n'en ai jamais eu entre les mains des comme-ça..., je pense qu'il te faudra la marquer au fer rouge et l'anneler rapidement, la v i o l er dans son sommeil, le plus souvent possible, la dominer en permanence... ».

« Le fer est prêt, je l'ai fait en perruque au boulot, elle sera marquée ici, samedi prochain, elle aura ma marque sur son sexe, je la percerai ensuite aux seins et au sexe, ainsi... quiconque la prendra aura mes initiales sous les yeux, lorsqu'elle écartera ses jambes... à l'automne, je la prostituerai dans les rendez-vous de chasse... »

J'entends ces paroles et les prend pour argent comptant, c'est ma destinée... « Oui mon amour, fais de moi ce que tu veux... je t'appartiens totalement désormais, je suis à toi... ». Je suis dans le donjon, Bruno me fixe une corde autour d'un sein, serre, fait un nœud, un nouveau tour, recommence, après cinq tours, il fait une boucle, procède de même avec l'autre sein, mes seins me font mal à gémir, ils ne tardent pas à changer de couleur, je ne bronche pas, j'attends.

Une barre est fixée à mes chevilles, mes jambes sont écartées, mes bras attachés dans le dos. Bruno manipule une corde, elle descend, un crochet la termine, il positionne les deux boucles qui terminent les cordes qui enserrent mes seins, tire sur la corde, je me sens soulevée, bientôt je n'ai plus que le bout de mes orteils qui touchent le sol, une dernière traction, mes pieds décollent du sol, je suis pendue par les seins, la douleur est horrible. J'entends Bruno, remuer des objets, il revient vers moi, me regarde, me dit « je t'aime... », tire sur la pointe d'un de mes seins, la transperce à la verticale avec une aiguille, puis à l'horizontale avec une autre, il procède de même sur l'autre sein, revient avec une chaîne terminée par deux boucles, passe les boucles derrière les aiguilles, puis accroche des poids, la douleur est infernale.

Il me détache les mains « branle-toi, soumise... », maladroitement mes mains trouvent mon sexe, je commence à me caresser, un sifflement, un coup de cravache m'arrive sur les fesses, Patrick appuie ses coups, mes fesses me brûlent, je continue néanmoins à obéir et me caresser... mon ventre à un spasme, un autre coup arrive sur les fesses, je vois une bougie s'approcher de mes seins, Isa penche la bougie, la cire brûlante coule, elle recouvre mes seins, mes mains continuent à s'activer, Isa prend une cravache et fait sauter la cire avec, mon ventre tremble... j'obéis à Bruno, règle ma masturbation selon ses ordres, je gémis, je ne sens plus la douleur « j'éprouve... j'éprouve... » je ne tarde pas à hurler « Ouiiiiii.... ».

« Impensable... » tel est le commentaire de Patrick, je suis descendue, déliée, les aiguilles enlevées, Bruno me caresse, insiste sur mes seins, m'embrasse, je répond à ses baisers...

Je suis ramenée par la laisse dans la salle à manger, Patrick tire au milieu de la pièce une malle, s'allonge dessus, Bruno me positionne, Patrick sans précaution aucune m'encule, Bruno se penche sur moi, il pénètre mon sexe, les deux hommes s'activent, ils ne tardent pas à décharger en moi, je me laisse faire, inerte, je n'ai aucune réaction...

« Maso à ce point-là, c'est du vice... » déclare Bruno, « t'as raison frérot, j'ai un drôle de taf devant moi... mais je suis persévérant... »

Isa me ramène dans le jardin et à nouveau me nettoie au jet, je suis laissée dégoulinante sur la terrasse, je grelotte... je me contente de grelotter... Bruno vient me rejoindre, Patrick le suit, il me prend par la laisse, m'amène sur la pelouse « à genoux, ouvre la bouche... », je m'exécute, il prend son sexe, je vois le jet jaillir, il urine dans ma bouche, sur ma figure, sur mon corps, c'est bon, c 'est chaud... lorsqu'il a fini Patrick prend le relais, je subis sa miction, Isabelle arrive m'ordonne de m'allonger, s'accroupit au dessus de moi, et elle aussi urine sur moi, suivant l'ordre de Bruno ma main s'active, mon ventre tremble, je finis par hurler mon plaisir...

« En plus elle adore être humiliée, c'est vraiment la soumise idéale, je t'aime ma Paupau... » s'exclame Bruno...

Je suis à nouveau nettoyée au jet, mise à sécher attachée à un poutre de la terrasse...

Nous sommes couchés dans le lit de la chambre d'amis, Bruno me caresse, m'embrasse, je répond à ses baisers et ses caresses, il commence à me manier le sexe, mon ventre tremble, coule, Bruno se redresse, se met à genoux sur le lit, place mes jambes sur ses épaules et me dit « je ne veux t'entendre que pour jouir.., je vais t'utiliser pour ce que tu es, mon vide-couilles... », sans précaution il pénètre mon anus, mon visage se crispe, j'ai mal, puis se retire pénètre mon ventre, alterne les pénétrations, mon ventre tremble, lorsqu'il accélère ses mouvements, je prononce des mots sans suite, lorsqu'il éjacule, je hurle mon plaisir...

Nous sommes couchés enlacés, épuisés, je confie à Bruno « mon amour, c'est la première fois que je jouis comme ça... », il m'embrasse, me serre dans ses bras, les mots sortent seuls de ma bouche « ... mon amour, avant que nous nous endormions, je voudrais que tu me cravache le ventre, le cul, les seins, s'il te plaît... soit sévère... »

Quelques instants plus tard, je suis allongée sur le ventre, je mords l'oreiller, les coups de cravache arrivent avec régularité sur mon cul, sur l'ordre de Bruno, je me retourne, mon ventre et mes cuisses reçoivent leur ration, je compte en disant « Merci » à chaque coup, selon l'ordre de mon maître, lorsqu'il est satisfait du résultat, il m'ordonne de m'agenouiller sur le lit, de lui présenter mes seins en les soutenant avec mes mains, je recommence à compter les coups en remerciant... je ne suis plus que douleur...

Bruno me caresse le sexe, à nouveau je jouis, j'en suis désormais convaincue, je ne peux jouir que dans la douleur, en soumise... paradoxalement j'en suis heureuse, sereine... Nous nous endormons enlacés...

Lorsque je me réveille, j'aperçois le jour au travers des volets, je suis seule, j'entends des voix, j'arrive dans la cuisine, embrasse Patrick, Isa, qui me fait tourner sur moi-même pour admirer mes marques (je me suis regardée dans la glace de l'armoire, je suis fière de ces marques de coups, j'en ai sur les seins, les fesses, les cuisses, le ventre...), j'embrasse Bruno à bouche que veux tu.

Je m'assied, Brubru se lève, remplit un mug, me demande « avec ou sans sucre, du lait?, tu veux du thé à la place du café? », « non mon amour du café sans sucre, à partir d'aujourd'hui, il faut que je maigrisse un peu, je suis trop grasse du cul, en maigrissant tu pourras rentrer plus profond dans mon ventre, j'en ai envie... mon amour... »

En buvant mon café, je questionne Isabelle « c'est quel jour l'anniversaire de Bruno? », « Aujourd'hui... », j'embrasse Bruno « bon anniversaire mon amour de la part de ton « cadeau », excuse-moi mais personne ne me l'avait dit, bon anniversaire Brubru chéri..., mon Brubru d'amour... ».

« On fête ça quand Isa?... »

[A suivre ici](https://fessestivites.com/recit/182824

PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

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